Les Bienfaits de la Slackline

Convivialité, mobilité, environnement, il n'y a que du positif à cette activité!

11/22/20241 min read

LES BIENFAITS DE LA SLACKLINE

La pratique de la slackline incite à passer du temps en extérieur (parc, montagnes, forêt,...),et favorise les interactions sociales, ce qui est bienvenue à tout âge à l’ère du numérique !
La slackline se pratique individuellement comme en groupe, s’installe rapidement et facilement, est accessible en prix, et en niveau (avec de bons conseils)..
C’est une activité physique non genrée, excellente pour la santé physique et mentale, spécialement pour ce public qui passe beaucoup de temps assis ou devant un écran.
Le fait de travailler les muscles posturaux,(prévention des chutes et blessures) et de s'évader de l’environnement extérieur grâce à sa concentration, en plus d’être complémentaires à d’autres pratiques sportives, ne peut que plaire!

Convivialité

Concentration & Bien être

Physiologiques / Corporels

De part son côté spectaculaire, et sa nouveauté, l’activité attire beaucoup l'œil et les curieux, ce qui déclenche des échanges souvent très agréables et des moments de partages autour de courtes séances d’initiations.
La pratique se fait très souvent à plusieurs, où l’on peut s’entraider pour progresser, s’inspirer, partager ses ressentis et astuces, et où l’on développe ce sentiment d’appartenance à un groupe.

Pour certains pratiquants, il s'agit d’une activité de travail sensoriel, pour d’autres d’un engagement symbolique.

Dans chaque cas c’est une activité individuelle de concentration, où l’on est en gestion de soi en permanence, en “lutte contre soi” pour se maîtriser, se surpasser.

On y travaille sa capacité d’attention, pour faire abstraction de son environnement visuel et sonore, au profit du sensoriel.

La slackline peut ainsi être source de bien être mental.

L’état d’équilibre sur la durée est ainsi nommé “état de flow” (personnellement “méditation active”) : c’est une forme d’évasion, de fuite du réel constructive, où la notion de temps est faussée, l’effort ressenti inexistant et où les interférences de l’environnement extérieur sont gommés. C’est le “Graal” de tout bon slacklineur!
L’activité pousse au dépassement de soi: à repousser ses limites, à progresser, plus loin, plus haut, plus longtemps, faire mieux. C’est un boost de confiance en soi!

Dans cette pratique, cerveaux et muscles collaborent pour trouver le centre de gravité optimal et éviter la chute.

C’est le sens de la proprioception qui est primordial : les capteurs nerveux des muscles envoient l'information vers le cerveau (sur la position, le mouvement, la contraction) pour ajuster ou se rattraper.

On développe aussi les sens de la vue, du toucher (avec les pieds) et

l’oreille interne (centre de traitement de l’équilibre) est très sollicitée.
Les muscles les plus en actions sont les muscles posturaux

De part l’environnement particulier, et la valorisation voire sacralisation de ce milieu d’évolution, l’activité participe à l’appropriation spatiale et stimule l'intérêt pour le territoire.

Tout comme la plupart des activités physiques en environnement naturel, c’est un objet (ici la slackline), qui confère une harmonie entre le corps et l’élément naturel. Il est nécessaire de s’adapter au milieu d’évolution, aussi bien pour exceller que pour prendre du plaisir dans sa pratique.

Le rapport à l’environnement est d’autant plus amplifié par la réussite! c’est une recherche d’osmose, très symbolique de la pratique.
La relation à l’environnement en slackline est à la fois conquérante (valider un nouveau spot) et contemplative.

Néanmoins, le milieu d’évolution n’est pas l’élément fondamental de la pratique car les lieux (“spots”) se diversifient de plus en plus.

Le rapport à l'environnement